Pony-girl Petit cheval

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il y a 13 ans
Pony-girl Petit cheval une superbe histoire érotique de Bruno

Hélène court depuis une heure dans la carrière qui jouxte l'écurie.

Elle reproduit comme chaque jour à la même heure les exercices qui lui sont imposés. De petits galops de 5 minutes entrecoupés de trottinements et de marches à petite allure. C'est son lot quotidien depuis près d'un an maintenant et, si dans les premiers temps elle eut de la peine à s'habituer, elle ne peut aujourd'hui cacher son plaisir de courir nue hormis ses bottines qui lui cambrent exagérément les jambes et de sentir le souffle du vent fouetter sa peau. Après cet échauffement elle poursuivra l'apprentissage de la reprise qu'elle doit présenter le mois prochain. Elle devra montrer sa dextérité à man?uvrer un sulky entre des obstacles divers sous les ordres de son maître.

Régulièrement, elle présente devant un parterre choisit une reprise dont la difficulté va croissant. Elle se souvient avec émotion de ces débuts, quand son maître se contentait de la laisser trotter dans la carrière. Elle apprenait alors à porter ses bottines spéciales dont il l'avait affublé, bottines qui lui cambraient exagérément les mollets, dépourvues de talons de sorte que tous son poids portait sur la partie avant du pied. Les heures d'entraînement qui lui sont imposées quotidiennement ont sculpté sa musculature et seuls ses seins traités par divers procédés tant chimiques que mécaniques paraissent disproportionnés sur son torse. Il est vrai que son maître, sans être un amateur de seins gargantuesques aime néanmoins les mamelles fortes qui balancent au gré de ses courses.

Afin de la manoeuvrer lorsqu'elle est attelée au sulky, ses mamelons sont traversés par d'épais anneaux en acier bleuis par lesquels passent les rênes et il n'est pas rare qu'après une journée de travail, ces derniers soient à ce point blessés qu'ils saignent. Son maître au contraire d'autres propriétaires de juments humaines n'apprécie pas le mors parce que prétend-il, la bouche d'une femelle ne se prête pas aussi bien à ce traitement que celle d'un cheval. Et surtout, le port du mort implique l'ablation des prémolaires de la mâchoire inférieure et supérieure et il trouve qu'alors la bouche de la femelle en devient disgracieuse.

Sa vulve est aussi ferrée par une série d'anneaux entrelacés qui d'une part ont pour effet de lui clore le sexe, mais qui servent également à lui assujettir le système de fixation du timon du sulky. Le timon comporte une excroissance verticale qui est introduite dans son vagin tandis que de part et d'autre de cette excroissance sont disposés des anneaux qui reliés à ceux de sa vulve permettent d'assurer une stabilité verticale du sulky en maintenant serré le timon contre celle-ci. L'extrémité du timon se poursuit par deux tiges d'acier garnies de cuir épais qui se recourbant viennent prendre appui sur le bas ventre de par et d'autre des aines permettant l'effort de traction sans risquer de déchirer les grandes lèvres. Les premières fois que son maître avait inséré cette espèce de gode dans son vagin elle avait cru qu'elle allait être définitivement déchirée et distendue tant la chose était disproportionné alors que le poids du sulky qui avait beau être parfaitement équilibré tirait sur les anneaux des lèvres au point de les distendre douloureusement. Très vite pourtant elle appris à se servir de deux bandes d'acier en s'appuyant dessus afin de diminuer la pression exercée par cet appareillage.

C'était aussi les seules fois que son vagin était pénétré par un objet depuis son arrivée. Elle ressentait une étrange exaltation à chaque fois qu'elle sentait les doigts de son maître manipuler les barrettes et les anneaux qui la garnissaient. Son sexe immanquablement s'humidifiait sous ses attouchements. Les frissons étaient alors de plaisir ce que ne manquait pas de souligner son maître par une remarque sarcastique. Le sulky vide, elle en portait le poids uniquement par les anneaux de sa vulve. Le timon se relevait dès que son maître s'asseyait dans le sulky et venait s'écraser contre les petites lèvres et le clitoris sollicités par le frottement de l'extrémité du timon. Celle-ci est donc équipée d'un coussinet qui atténue l'irritation provoquée par le frottement et provoque aussi des ondes de plaisir au gré des arrêts et des tractions initiées par le maître. Il arrive aussi pour la punir que son Maître retire ce coussinet. L'entraînement s'achève alors dans d'effroyables douleurs, le clitoris et les petites lèvres étant rapidement ensan glantées par leur frottement directement sur le bois.

Parce que son dressage est en voie d'être achevé, son corps ne porte quasi plus de marque de fouets ni de coups de cravaches. Elle est encore fouettée mais plus pour son plaisir et celui de Robert qui aime par-dessus avoir sous les yeux son cul rouge et marqué de stries lorsqu'il la pénètre. Si au début, elle craignait les cinglées assenées parfois avec brutalité, elle a appris à les aimer et jouit maintenant souvent sous le contact des lanières de cuir qui marquent sa peau et la chauffent. Il est passé le temps où tous les jours il fallait la punir pour les multiples fautes qu'elle commettait. Elle est fière de cette réussite et fait tout ce qu'elle peut pour parvenir à la perfection.

Voilà un an que sa vie a basculé, elle avait alors 23 ans. Elle vivait parmi les chevaux depuis sa tendre enfance, ces parents étant propriétaire d'un haras, et jamais elle ne ratait un évènement touchant à l'art équestre. Lorsqu'une exposition itinérante sur le monde du cheval avait été annoncée dans sa petite ville de province, elle avait attendu avec impatience son arrivée et s'était précipitée pour admirer les ?uvres présentées. Une série de photos l'avait attirée et elle avait été particulièrement émue par la vision de ces animaux magnifiques, aux naseaux fumant, à la robe moussue de transpiration et parés de courroies de cuir qui découpaient le corps et la tête. Le photographe était littéralement parvenu à sculpter le corps des animaux en jouant subtilement avec la lumière.

Admirative devant chacune, excitée aussi par ce spectacle, Hélène parvenait à peine à cacher son plaisir. Le photographe, Robert, amusé par son comportement s'était présenté à elle. Celui que depuis elle appelait Maître avec respect et dévotion, celui qui avait fait d'elle ce qu'elle était aujourd'hui, une jolie pouliche heureuse. Ils avaient commencé par échanger les banalités habituelles à propos des photos présentées. Très vite Hélène avait ressenti une impression étrange au contact de l'homme au charme et au magnétisme certain. Leur conversation s'était poursuivie un bon moment, Hélène se laissant peu à peu subjuguée par Robert. Cette première rencontre ne pouvait rester sans suite mais le temps ayant passé, Hélène avait dû partir non sans obtenir la promesse qu'ils se reverraient prochainement. Hélène avait donc été à moitié surprise de voir Robert arriver au haras de ses parents. Il avait obtenu de pouvoir faire quelques photos d'un des chevaux les plus en vue du moment et dont justement ses parents étaient les propriétaires. Hélène émue ne douta pas un instant que les photos en question n'étaient en fait qu'un prétexte pour la retrouver.

Ses parents, tout content de trouver une hôtesse pour Robert avait chargé Hélène de lui faire faire le tour du propriétaire et de le conduire à Hurricane, ce superbe étalon dont tout le pays parlait depuis ses récentes victoires en Grand Prix. Pendant qu'Hélène lui faisait faire le tour de la propriété, Robert amusé, tout occupé à préparer son matériel photo n'avait pas manqué d'observer l'état d'excitation de la jeune fille qui les joues rouges, était-ce la chaleur, décrivait en long et en large tout ce qu'ils voyaient. Dès qu'ils s'arrêtaient, tout était prétexte pour qu'elle s'approche de lui, qu'elle le touche et plus d'une fois il n'aurait eu qu'à tendre les lèvres pour qu'elle l'embrasse sauvagement. Pourtant, si la jeune femme l'attirait, c'était indéniable, Robert ne la voulait pas simplement à lui, il la voulait totalement. En prédateur qu'il était, il avait déjà discerné en elle les germes de l'esclavage auquel très vite il avait décidé de la soumettre. Instinctivement, il savait que d'ici peu elle s'offrirait corps et âme et qu'elle subirait sans rechigner sa volonté.

Ils sont enfin parvenus aux écuries. Comme si elle cherchait à éviter l'inévitable, Hélène tarde à se diriger vers le box d'Hurricane. Elle parle des chevaux qui s'y trouve, de Belle, sa jument préférée, de son poulain né il y a juste 6 mois. Ces mains se posent sans cesse sur les bras de Robert en quête de contact frissonnant tandis que son regard ne parvient que difficilement à cacher la fièvre qui l'étreint. A plusieurs reprises Robert s'est pris à la photographier, cherchant à saisir sur la pellicule l'un ou l'autre détail, comme ce sein qui sous les gestes un peu vifs parfois de sa propriétaire ne demande qu'à jaillir du corsage ou cette cuisse dénudée quasi jusqu'à l'aine lorsqu'elle s'est penchée pour caresser son poulain. Inconsciente ou non, Hélène continue son marivaudage jouant de ses yeux et de sa bouche, dévoilant sans vergogne petit à petit ce corps qu'elle a si peu offert. Elle se sait belle et désirable, elle le voit dans le regard de Robert et en est émue.

Il ne lui a pas été facile de s'habituer à son box. Elevée dans une famille aisée elle eut de la peine à concevoir dans un premier temps qu'une partie de son univers se résumerait à la paille étendue sur une dalle de béton, à des murs cimentés et qu'elle était emprisonnée par une grossière porte de bois à deux vantaux. Elle s'était retrouvée, de par sa volonté, plongée du jour au lendemain dans un monde tel que même si elle avait fantasmé au point de l'imaginer, il lui était difficile de le vivre. Sa première nuit avait été pénible quand devant uriner elle n'avait trouvé d'autre alternative après avoir appelé pendant un temps qui lui avait paru infini que de s'accroupir dans un coin et de se vider. Elle avait désiré devenir animal, mais rarement elle ne se l'était sentie autant. Elle s'était essuyée avec un peu de paille ramassée à ses côtés. Au petit matin, transie de froid, son maître puisque c'est ainsi que dorénavant elle l'appellerait en pensée l'avait sortie de son box pour la passer à la douche comme il le lui avait annoncé.

Il avait commencé par lui passer un licol autour de la tête, étroitement serré derrière la nuque. Ce licol dont les brides couraient sur son visage délimitant par le cuir le menton, le nez et le front avait comme particularité de se terminer par une large courroie qui enserrait le cou comme un collier. Un anneau judicieusement placé sur le devant permettait d'y fixer une bride afin de conduire la femme "à l'attache". Il lui avait retourné les bras dans le dos de sorte que les avant-bras se superposent à l'horizontal. Ainsi fixé, la position avait pour effet de faire saillir les seins vers l'avant en lui redressant les épaules. Ainsi équipée, toute heureuse, elle l'avait suivit vers cette douche qu'elle attendait avec impatience pour rapidement déchanter. D'abord sur le coté de l'écurie, dans ce qui ressemblait à un bac à sable, il l'avait contrainte à s'accroupir pour ses besoins. Elle n'avait pas tout de suite compris ce qu'il voulait et la cravache avait zébré son dos pour la première fois. Ensuite une honte indicible l'avait submergée. Ils en avaient parlé longuement, elle s'était préparée, mais elle n'avait pas perçu ce que ce vol de son intimité lui serait difficile.. Elle était restée un long moment accroupie tandis qu'il attendait un rien goguenard qu'elle se laisse aller. La menace de la fouettée n'arrangeait pas les choses et il fallut que la pression de sa vessie et de ses intestins soit la plus forte pour qu'elle se vide enfin. Lorsque se fut fait, il tira un coup sec sur la bride sans lui laisser le temps de s'essuyer pour aller vers cette douche qui n'était en fait qu'une méchante aire de béton le long de l'écurie avec un avaloir au centre, un tuyau d'arrosage et quelques crochets pour y attacher la bride fixée au licol que depuis hier elle portait. Le jet d'eau glacée l'avait surprise tant par sa puissance que par sa froidure qui la figea dans un long gémissement. Comme dans un jeu Robert s'était amusé un temps à chercher les endroits de son corps particulièrement sensibles s'attardant sur les seins déformés par la puissance du jet pour finir sur son sexe dont les lèvres s'ouvrirent sous l'intrusion liquide. Glacée, Hélène grelottait sans faire un geste. Ce n'est que plus tard, lorsque Robert procéda à son pansage en frottant énergiquement ses fesses, ses cuisses, son ventre et son dos avec l'étrille qu'elle commença à sentir une douce chaleur l'envahir. Elle frémit de plaisir et de honte partagée quand il examina sa vulve et son anus afin de s'assurer de leur parfaite propreté et le rouge lui monta au front quand ayant délicatement écarté grandes et petites lèvres il lui avait introduit un écouvillon afin de perfectionner le toilettage entrepris. A sa demande, elle s'était penchée ensuite saisissant avec ses mains ses chevilles afin de lui permettre d'accéder commodément à son anus pour le visiter de même. Ses cheveux retombant sur son visage lui avaient permis de cacher la rougeur qui l'avait alors embrasée lorsque l'écouvillon avait pénétré son cul et délicatement ramoné ses sphincters.

Il s'attarda ensuite sur sa chevelure la brossant longuement pour la rendre soyeuse et termina en toilettant son pubis avec une petite brosse dure. Durant tous ses soins, elle n'avait pas proféré un mot. Ils avaient convenu que devenue femme cheval, elle n'aurait plus le droit de parler. Son statut de jument ne l'autoriserait qu'à hennir ou grogner. Un moment, ils avaient discuté de l'opportunité de la pose d'un faux palais qui emprisonnerait la langue. Ils avaient décidé finalement que l'abandon volontaire de la parole serait pour elle une marque de soumission bien plus grande. Son cheminement devait essentiellement rester volontaire. Elle avait jouit de cet avilissement supplémentaire que lui imposait Robert qui n'avait pas manqué de remarquer au bref tressaillement, comme une vibration, une tension qui avait parcouru son corps. Il lui avait longuement flatté la nuque et le dos pour suivre son plaisir. Maintenant, après un an, elle avait totalement assimilé sa nouvelle condition et acceptait sans rechigner le toilettage auquel elle était soumise tous les jours. Assez vite elle avait même éprouvé le même plaisir avec le lad engagé par son maître qui souvent s'occupait d'elle. Non seulement, elle y prenait tout autant de plaisir qu'avec son maître, jouissant souvent au cours de son toilettage et il n'était pas rare qu'elle ne puisse retenir un sourire en remarquant la bosse qui affublait le bas ventre du lad alors qu'il s'occupait de ses soins corporels.

La première fois que son maître lui avait présenté le jeune homme, elle n'avait pu réprimer un mouvement de refus vite réprimé par quelques coups de cravache en travers des seins.

Certes, ils avaient convenu de beaucoup de chose, mais son maître avait le droit d'agrémenter, il ne s'en privait pas, son futur selon son imagination. Il avait détaillé les pouvoirs du jeune homme lui interdisant seulement tout contact d'ordre sexuel. Elle imaginait sa frustration, elle nue, offerte totalement et lui qui devait subir l'interdiction formelle de l'utiliser. Le Lad allait jusqu'à pouvoir la fouetter ou la cravacher à la moindre incartade toujours dans le but d'assurer un dressage de qualité et il est vrai que les premiers temps il ne s'en privait guère, prenant prétexte du moindre faux pas pour abattre le fouet sur son corps offert.

Quel chemin parcouru depuis les photos d'Hurricane alors qu'enfin ils étaient entrés dans le box... Accroupie et penchée pour examiner sa jambe antérieure, elle avait ressenti le souffle de Robert dans son cou. Se retournant doucement vers lui, la bouche entre ouverte, elle n'avait pu résister au baiser qui l'avait obligée. La langue de l'homme avait pris possession de sa bouche impérativement et en une fois elle s'était abandonnée aux sensations qui l'avaient envahie.

L'odeur de la paille, du cheval, la vision de la verge de l'étalon à demi turgescente, le contact du mâle et le goût de sa salive dans sa bouche, furent telles qu'à l'instant elle voulut qu'il la prenne, à même le sol, entre les jambes du cheval qui nerveusement tapait du sabot.

Tout à ses exercices quotidiens et tout en trottinant elle se remémorait avec passion l'étreinte qui avait suivi tandis que son sexe étroitement fermé par les anneaux qui le garnissaient, se trempait à chacune des ces évocations.

Sauvagement, la troussant sans vergogne, Robert l'avait renversée dans la paille et se dégrafant d'une main l'avait pénétrée d'une seule poussée de sa verge tendue et gonflée par tous les agacements dont elle l'avait taquiné depuis qu'ils avaient quitté ses parents une heure auparavant. Elle avait jouit instantanément serrant convulsivement ses jambes autour des hanches de Robert de sorte à permettre une pénétration profonde. Elle voulait être défoncée et les coups de butoir de l'homme la comblaient d'aise alors qu'elle enchaînait orgasme sur orgasme. Après un temps qui lui avait paru interminable, il s'était vidé en elle. Elle se souvenait encore aujourd'hui avec passion des soubresauts de la verge dans son ventre, de son clitoris broyé par la pression du pubis de son amant qui lui envoyait des vagues de plaisir au point qu'elle avait de la peine à se retenir de hurler.

Ils étaient restés l'un contre l'autre en silence un long moment, savourant ce premier orgasme. Après s'être rajusté et relevé, il avait entrepris de la photographier aux pieds du cheval... Il s'était attardé sur sa vulve offerte, ses seins qui sous l'effort avaient jailli de son corsage malmené. Fini l'aine dévoilée accidentellement, fini la gorge offerte dans un halètement, il exigeait sans plus qu'elle exhibe son corps et avec une pointe sarcastique, il lui avait assené un : « Belles photos qui ne dépareront pas mon exposition.... Il ne manquerait que les brides de cuir se dit-il. Il se faisait fort de les lui voir porter peu après.

Après un moment elle aussi s'était rajustée, ramenant de l'ordre tant bien que mal dans ses vêtements défaits. C'est à ce moment se souvint-elle qu'il lui avait demandé de ne plus porter de slip car il voulait son ventre nu et disponible en tout temps. Il lui avait alors réclamé son tanga en souvenir et sans aucune réticence elle le lui avait donné acceptant déjà toutes ses exigences.

Peu de temps après, ils se retrouvèrent près de ses parents, elle attentive à cette nouvelle sensation doublement étrange, se retrouver devant son père et sa mère avec son amant de quelques instants et surtout le ventre inhabituellement nu. Lorsqu'il l'appela le lendemain, elle était prête. Quoiqu'il lui demande, elle l'accepterait. Il voulait la photographier, pas simplement des nus obscènes comme ceux de la veille, mais des nus d'arts, photos sur lesquels sont corps serait magnifié par les lanières de cuir sous des éclairages sophistiqués qui mettraient en valeur son corps huilé. Elle avait aussitôt accepté sans marquer la moindre hésitation rêvant d'autres pénétrations brutales et tellement jouissives. Tout à son entraînement, ses pensées passaient agréablement en revue l'année écoulée. Dès le premier jour Robert avait suivi à la perfection le plan que l'un et l'autre avaient concocté. Elle avait exprimé au cours de longue discussion le fond de ses fantasmes et tous les deux avaient longuement examiné comment les réaliser. . Elle voulait vivre son fantasme, devenir une jument dressée qui porterait fièrement les cocardes gagnées pour son maître épinglées sur ces seins ou ses flancs. Tandis que lui rêvait d'avoir une belle femelle soumise à sa volonté, réduite à un doux esclavage. Elle voulait se donner, lui voulait être le maître incontesté. L'un et l'autre s'étaient rencontré et maintenant vivait leurs rêves.

Réchauffée par l'essuyage énergique que son maître lui avait prodigué, Hélène se laissait aller à une douce quiétude en se rappelant tout ce qui la séparait hier encore d'aujourd'hui. Elle était arrivée chez son maître toute pimpante dans une jolie robe boutonnée sur le devant qui moulait son corps souple et gracieux Lors de leurs conversations, elle avait très vite compris et accepté le fait qu'elle devrait changer sa vie afin de subir un entraînement sévère qui la rapprocherait de l'état qu'elle voulait vivre. Il lui avait dit combien il serait heureux qu'elle s'en remette à lui pour la guider vers cet état et elle s'en était remise à lui.

Le taxi l'avait déposée au pied du perron sans bagages. Ceux-ci ne lui seraient pas nécessaires lui avait-il dit avec un clin d'?il. Il était venu vers elle avec un grand sourire, se réjouissant qu'elle soit venue et la félicitant d'avoir osé. A peine le taxi avait il disparu au bout de l'allée, qu'il l'avait enlacée l'embrassant à pleine bouche, la pressant contre lui. Et tandis qu'elle se sentait fondre, il l'avait entraînée vers les écuries.

Le box avait été récemment repeint en blanc et c'est tout ce qu'elle vit dans un premier temps. La peur, l'angoisse l'avait taraudée sur le chemin qu'ils avaient emprunté. Elle y était et rien ne la ferait reculer. Elle savait avec une conviction rare qu'elle voulait vivre cette expérience inhabituelle mais au pied du mur elle se demandait si elle pourrait aller au bout de la réalisation de ce fantasme. Peu à peu, elle avait pris conscience d'abord de la petitesse de ce box, puis du fait qu'il n'y avait aucun mobilier et enfin que le sol n'était jonché que de paille, fraîche bien sûr, mais de paille. Dans un coin elle avait entre aperçu ce qu'elle devina être des couvertures et enfin elle s'était raidie devant la mangeoire à deux compartiments, l'un pour l'eau, l'autre pour la bouillie qui lui serait servie quotidiennement. Lorsqu'elle s'était retournée pour jeter un regard quelque peu incrédule vers Robert, elle n'avait vu que son regard grave et décidé.

Elle avait compris à cet instant qu'il avait tout mis en ?uvre pour que la réalisation de son rêve soit aussi fidèle que possible. Sans un mot, elle avait alors déboutonné lentement sa robe comme pour offrir un dernier strip-tease. Lorsque la robe glissa de ses épaules pour tomber en corolle à ses pieds, elle n'esquissa pas un geste, elle ne portait aucun sous-vêtements, elle s'était offerte sans plus. Dorénavant, elle s'en remettait à son maître.

Robert avait vu sur le visage d'Hélène tous les sentiments qui l'agitaient défiler comme des nuages dans le ciel. Devant la brutalité et la crudité de la situation il avait craint un instant qu'elle ne se rebelle. Lorsqu'il la vit nue devant lui sans qu'aucun mot n'ait été échangé, il n'eut plus de doute. Il bandait depuis un moment déjà. D'une pression de la main sur son épaule, il la fit se retourner. Il voulait ses reins, pénétrer fortement son anus. De ses mains elle lui offrit le passage, ouvrit son cul pour lui faciliter la pénétration. Sa verge plongea doucement au plus profond sans résistance tellement son corps à elle attendait cette délivrance. Leurs mains se joignirent sur son clitoris en une caresse commune et l'orgasme les terrassa au même moment, lui se vidant dans ses intestins en un bref grognement, elle poussant un long feulement de bonheur.

Lorsqu'il s'était détaché d'elle, il avait simplement refermé la porte du box en l'abandonnant le cul ouvert. Ils étaient arrivés à la carrière qui serait pour plusieurs mois l'endroit où elle passerait la majeure partie de son temps tout entier consacré à son dressage et à son entraînement. Il lui avait paru étrange de se promener au coté de Robert, nue, seulement vêtue de son licol et tenue par la bride. Un pâle soleil d'automne brillait dans le ciel et elle avait peine à retenir quelques frissons de froid. Lorsqu'il l'avait contraint à esquisser quelques pas de manière telle qu'elle imitait la démarche, elle s'était sentie ridicule. Elle était seule au milieu d'une vaste étendue de sable soigneusement ratissé, littéralement tenue en laisse par un homme qui lui donnait des ordres qui en d'autres circonstances lui auraient paru stupide.

  • Lève la jambe droite, la cuisse à l'horizontale, perpendiculaire au ventre, le genou plié à l'équerre. Baisse là maintenant doucement en dépliant en rythme le genou de sorte à poser d'abord les orteils en pointe sur le sol. Répète l'exercice avec la jambe gauche lui susurrait calmement Robert à l'oreille. Elle s'exécutait sans réfléchir subissant le tapotement de la cravache sur ses fesses lorsque le mouvement ne plaisait pas à son maître parce que trop rapide ou trop imprécis. Elle avait ainsi fait le tour de la carrière à 5 reprises. Le pas proposé imposait un léger sautillement du corps qui provoquait au niveau des fessiers un effet de bascule du plus bel effet que ne se lassait pas d'admirer Robert. Ses seins par contre la faisaient de plus en plus souffrir sollicités qu'ils étaient par la gravité. Pour cette première journée, Robert la voulait totalement nue. Par après, il avait prévu de la garnir d'un harnais de sa conception. Il savait qu'elle rêvait aussi de vivre enserrée dans du cuir. Il n'allait pas l'en priver.

Elle vivait cette première matinée avec euphorie et s'attachait à réaliser l'exercice demandé avec conscience. Après 2 heures de travail, ils s'étaient arrêtés pour une petite pose. Elle était en sueur, et légèrement essoufflée, elle attendait que son maître lui donne ses instructions. Elle avait eu un mouvement de recul réprimé par un coup de cravache sur les fesses quand son maître l'avait dirigée vers un abreuvoir à bestiaux pour qu'elle s'y désaltère. Pour éviter que le soleil ne lui brûle la peau, elle avait été ensuite enduite d'une crème hydratante, seul confort du temps passé qui lui serait autorisé. La peau humaine supporte en effet mal les ardeurs du soleil.

Il lui avait enfin présenté une pomme qu'elle avait croquée à même la paume de sa main l'usage de ses bras et de ses mains ayant été restreint. La pomme avalée, il avait essuyé avec délicatesse le jus aux commissures de ses lèvres. Elle n'avait pas manqué de s'ébrouer en signe de contentement devant ce geste tendre. La matinée était maintenant écoulée et après tous ces exercices le ventre d'Hélène commençait à crier famine. Il s'en était passé du temps depuis son brouet matinal. D'un pas léger, tout à son contentement, elle suivit Robert dans la direction de l'écurie.

La tenant par la longe fixée à son licol, Robert observait avec émotion et désir le cul marqué de quelques zébrures rouges qui balançait sensuellement deux pas devant lui. Elle était merveilleusement belle, nue ou quasi, le corps luisant de la sueur de l'effort, les seins tressautant au rythme de ses pas qu'elle venait d'apprendre à rendre coulant. Sa verge était tendue depuis le début de la matinée tout occupé qu'il était au dressage de sa petite jument. Dans l'écurie il s'approcha d'elle, la courba contre le chevalet qui portait la selle qui lui était destinée et sans qu'un mot ait été dit, après s'être défait, il lui prit les reins. L'anus, sans doute attendri par l'effort de la matinée, s'ouvrit sans opposer de résistance et tandis qu'elle poussait un gémissement de bonheur, il la força jusqu'à ce que ces couilles viennent battre ses fesses. Le va et vient ne dura guère tellement était grande leur excitation à tous les deux. Lorsqu'il jouit et qu'elle sentit sa queue tressauter dans son fondement, un orgasme la terrassa. Posée comme elle l'était sur le chevalet, elle put s'abandonner un bref instant à son plaisir. Rhabillé, Robert la poussa dans son box et s'en alla chercher la nourriture qu'il avait prévue pour elle. Son régime serait dorénavant simple. Des céréales le matin, des légumes frais et des fruits le midi et le soir un brouet plus consistant comprenant en plus des féculents, des légumes et de la viande passée au tamis.

A ce moment elle ne le savait pas encore mais tels seraient ses repas dans l'avenir.

Si les premiers jours elle avait été mortifiée par cette monotonie alimentaire, maintenant en se regardant, ou plutôt, en s'admirant, elle devait bien admettre en son for intérieur que ce régime lui avait fait le plus grand bien. Robert la regardait manger agenouillée devant sa mangeoire. Depuis leur première rencontre, Robert avait décidé de transformer l'innocente jeune fille qu'elle était alors en esclave totale. Ce qu'elle prenait pour un jeu, extrême certes, mais jeu, allait à son insu devenir une nouvelle vie. L'après midi serait difficile puisqu'elle serait marquée, ferrée et percée. Elle le savait, le craignait mais se soumettait...

Robert lui parla doucement dans le creux de l'oreille. Il lui expliqua tout en la caressant qu'il allait abuser de ce droit d'initiative qu'elle lui avait offert. Il lui expliqua qu'il la voulait à lui, totalement et sans concession. Pour la première fois il aborda l'aspect de l'esclavage auquel il voulait la contraindre. Bien sûr, l'un et l'autre avaient abordé ce sujet mais de se trouver au pied du mur la faisait frissonner. Il lui dit qu'en son for intérieur il n'avait rêvé qu'à ça. Son cerveau à elle répondait moi aussi dans un grand cri de confiance. Attachée et contrainte comme elle l'était, elle ne pourrait s'y opposer et il espérait d'ailleurs qu'elle ne le souhaitait pas, qu'elle comprenne son désir et qu'elle aussi jouisse de son nouvel état. Elle l'écoutait attentivement, sensible à ses mains caressant son corps, s'attardant sur ses seins, sa vulve. Un plaisir sauvage montait dans ses reins, son sexe s'ouvrait, son clitoris gorgé de sa ng se frayait un passage entre ses lèvres tandis que ces tétons dardaient fièrement au bout de ses seins tendus. Hier elle croyait vivre une expérience de ponygirl, participer à un jeu sur lequel depuis longtemps elle fantasmait. Un jeu qui prendrait fatalement fin après quelques jours. Aujourd'hui elle se voyait décrire un avenir qui loin de la rebuter l'excitait au plus haut point. Au fond d'elle-même, elle comprenait bien que le même désir d'être assujettie à un maître participait aux deux. Obéir sous les rênes n'était finalement que le prétexte pour obéir tout court.

Lorsqu'elle eut fini sa pitance, Robert l'entraînât vers la maréchalerie, sombre pièce où vrombissait un foyer ardent. A la vue des fers qui rougissaient dans la braise elle frémit se doutant que bientôt sa peau porterait la marque indélébile de l'un d'eux. Ce n'est qu'une fois son corps plié sur un chevalet, le cul cambré qu'elle comprit que son maître la voulait totalement à lui. Marquée à jamais ! Cette pensée la bouleversa au point qu'un frémissement de plaisir qui aurait pu être un orgasme parcouru son corps. Elle attendit haletante, la peur et l'angoisse lui tordant le ventre, frémissante lorsque la main de Robert avait caressé sa fesse pour repérer l'endroit précis ou il allait appliquer le fer. Elle ne put retenir un hurlement au moment ou il le posa. Il resta appliqué quelques instants tandis qu'une odeur de chair grillée se répandait autour d'eux. Elle était marquée. Cette pensée tourbillonnait en elle tandis que son Maître passait un onguent pour calmer la douleur et refroidir la plaie. Pour préserver le motif choisit par Robert, un R entrelacé d'un serpent, il fallait impérativement éviter l'apparition de cloque sur la brûlure. Il s'était alors penché vers sa bouche, l'avait saisie dans un baiser charnel puis lui avait murmuré combien il était fier d'elle. Une onde de bonheur avait fusé au travers de son ventre provoquant une puissante contraction de plaisir. La douleur sur sa fesse s'était estompée sous la caresse insistante de son anus et de sa vulve.

Elle devait encore être ferrée aux seins et à la vulve. Robert la détachant du chevalet, plein de sollicitude lui demanda si elle s'en sentait, à ce moment, le courage. Le mors qu'elle portait l'empêchait de répondre, aussi ne pu-t-elle que lui tendre le buste en signe d'assentiment. Sa volonté annihilée, son désir de lui appartenir maintenant qu'elle avait fait Le Choix, ne lui permettait en fait pas d'autre réponse.

Il l'avait alors poussée vers un ensemble de tubulures métalliques qu'elle reconnut comme étant une sorte de chaise gynécologique. L'ensemble était constitué de façon à ce qu'une fois étendue et attachée n'importe quelles parties de son corps puissent être présentées et offre un accès facile. Dans un premier temps elle fut quasiment assise et elle comprit rapidement que ses seins seraient dans un premier temps l'objet de toute l'attention de celui que déjà elle appelait en son for intérieur son seigneur et maître. Il n'était bien attendu pas question d'anesthésie et le voyant approché avec un épais trocart, elle ne put retenir un gémissement de peur face à la douleur qu'elle savait devoir subir. La pointe du trocart attaqua la base du mamelon juste sous le téton qu'elle avait fort développé et pénétra facilement la chair. Pour aider au passage Robert avait saisit la masse du sein et le pressait avec une certaine puissance afin la chair soit présentée correctement à la pointe qui frayait son chemin. Les larmes jaillissaient des yeux de la belle esclave tellement la douleur était vive. Bientôt la peau s'ouvrit de l'autre côté du mamelon et l'acier du trocart apparu. Elle soupira croyant que le plus dur était fait et c'est alors qu'elle vit avec horreur Robert approcher du centre évidé du trocart une tigelle d'acier rougie dans le foyer. La cautérisation aurait lieu au fer rouge. Elle voulut hurler, mais sa bouche bâillonnée ne laissa échapper qu'un gargouillis inaudible. La tigelle s'enfila sans peine dans le trocart tandis qu'une chaleur intolérable lui embrasait tout le sein. Lorsque Robert entrepris de retirer le trocart laissant en place la tigelle, elle s'évanouit. Quelques minutes plus tard, Il l'avait réveillée après avoir opéré de la même manière l'autre sein. Elle ne put que constater qu'ils étaient à présent orné de lourds anneaux qui étiraient les mamelons vers le bas. Sans attendre, Robert bascula la chaise de sorte que la vulve soit offerte et qu'il puisse y travailler. Il avait prévu d'assujettir 3 gros anneaux sur chacune des grandes lèvres, ceux-là même qui soutiendraient le timon du sulky et de cadenasser la vulve en perçant les petites lèvres de 2 barrettes chacune. Le sexe serait ainsi verrouillé n'autorisant que le passage des urines et des menstrues et surtout interdisant son accès sans son assentiment. Lorsque Pierre lui eu rappelé ce qui l'attendait une terreur sans nom l'envahit. Ses seins lui rappelaient constamment la douleur incroyable qui l'attendait en cette zone de son corps si fragile et si tendre. Hélène voulut un instant échapper à ce sort tant désiré mais qui l'affolait maintenant. Malgré ses efforts, elle ne parvint pas à bouger tant elle était solidement attachée. Pierre voyant sa détresse vint près d'elle lui susurrer des mots doux de réconfort, lui dire combien il l'aimait et l'admirait pour ce choix. Peu à peu vaincue à la fois par l'inanité de ses efforts et par la douceur de son Maître, elle s'abandonna. A trois reprises elle s'évanouit sous la douleur et chaque fois elle vit dans le miroir posé en face d'elle que ses lèvres s'ornaient d'anneaux supplémentaires. Bientôt un sentiment d'orgueil l'envahit. Elle avait subi cette première étape et portait les marques que Pierre avait tenues à lui imposer. Il ne lui restait plus qu'à devenir l'animal qu'elle avait souhaité être...

Pendant des jours elle fut soignée avec tendresse et amour par son Maître. Trois fois par jour, il la toilettait et appliquait onguent et autres médicaments qui aidaient à la cicatrisation. Il la massait délicatement faisant jouer les fers dans les plaies pour éviter que la chair n'y adhère. Plusieurs fois il l'avait amenée à la jouissance, malgré la douleur, ses doigts s'attardant sur le clitoris jusqu'à ce qu'elle vibre et que ces yeux se révulsent dans un soupir de bonheur.

Elle vivait ces jours d'attente dans son box vite habituée à sentir ses seins et son ventre alourdi par l'acier. Elle avait de la peine à supporter la fraîcheur des nuits et la paille la couvrait bien mal. Elle se couvrait alors de ces couvertures rêches qu'il avait consenti à déposer dans le box. Les nuits passaient lentement car souvent elle se réveillait de froid bien sur mais aussi de douleur quand l'un de ses mamelons venait au contact du béton ou de la paille et pesait sur le fer qui le garnissait ou encore quand croisant ou décroisant les jambes, elle étirait les anneaux de sa vulve. A chaque fois une brûlure remontant qui du sein qui de la vulve explosait dans sa tête. Elle s'était attendue à souffrir mais pas tant.

Régulièrement son Maître la saillait aussi ne se servant que de son anus. Le vagin avait été clos et ne serait rouvert que pour la reproduction ou pour le placement du timon du sulky. Après les soins ou à tout moment qu'il jugeait bon il la retournait, l'appuyait le ventre sur un tréteau de saillie, la courbait, lui graissait le cul d'une main rapide et la prenait ainsi sans s'occuper aucunement de son plaisir. Il éjaculait parfois rapidement mais souvent prenait son temps jouissant de vois son sexe aller et venir et distendre l'anus. Il aimait à grand coup de butoir entendre sa femelle grogner de douleur et parfois de plaisir. Sa frustration à elle était parfois telle qu'elle jouissait de se sentir pénétrée par le cul. Elle cambrait alors ses reins et s'offrait plus encore pour qu'il s'enfonce de toute la longueur de son sexe qu'il avait long et épais. Après avoir éjaculé, il présentait son sexe à sa bouche et avec dévotion elle nettoyait le membre qui venait de lui ouvrir le cul qui après des semaines s'était adapté et supportait sans peine ses intromissions brutales. Le pire pour Hélène était de ne plus disposer de son con pour jouir. Elle avait aimé être simplement prise par là. Elle aimait sentir ses petites lèvres s'ouvrir sous la pression du sexe de son amant, son clitoris se frotter à ses poils pubiens. Elle adorait l'écrasement de ce dernier sur le pubis de son partenaire. Et souvent, peu d'entre eux s'en était douté, elle jouissait de la douleur légère provoquée à ce moment quand le mâle brutalement s'enfonçait en elle et venait percuter son pubis en écrasant lèvres et clitoris. Quand elle avait fini, il lui flattait la nuque et la laissait, à elle de se relever de se recoucher le cul ouvert.

Il usait de sa bouche aussi, défonçant sa gorge pour y rentrer sa bite jusqu'à ce que les couilles battent le menton. Les premiers jours elle vomissait prise dans d'incoercibles spasmes. Elle apprit vite sous les coups de cravaches à se contrôler, sa bouche, ou sa gueule comme il lui plaisait de dire, devant l'absorber... Les jours passaient entre soins et saillies, brouet et nuit, solitude parfois mais l'esprit obnubilé par la voie qu'elle avait empruntée. Parfois elle pensait à ses parents, ses frères et soeurs à la douceur de leurs présences et aussi à la chaleur de sa chambre. Une petite larme vite réprimée et une sorte de bien-être masochiste l'envahissaient. Elle aimait être devenue rien, simplement la chose de son maître, un objet dont il serait fier, dont il était déjà fier. Tout ce qu'elle demandait était qu'il continue à la caresser, à l'enculer, à la fouetter, à se servir d'elle et de son corps. Elle lui abandonnait tout, corps et esprit, il fallait qu'il s'en saisisse, il le faisait...

Bientôt, le programme qu'ils avaient mis au point était précis, après sa transformation en jolie pouliche commencerait l'entraînement proprement dit car loin de vouloir être une pouliche de manège, Hélène voulait être une bête de course. Elle apprit à porter les petites bottines dont il est question plus haut. Le mollet exagérément cambré lui fit mal dans un premier temps. Le soir venu les crampes l'empêchaient de dormir et seul un massage prodigué par son maître avec des crèmes adéquates lors de sa toilette toujours aussi frustre apaisait la douleur. Avec l'entraînement, il ne fallut que quelques jours pour qu'elle parvienne à rester hissée sur ces invraisemblables chaussures qu'ils avaient commandées à deux tout en s'embrassant.

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